Les chiffres sont tombés comme une douche froide début 2025. Plusieurs grands groupes d’Ehpad, publics comme privés, tirent la sonnette d’alarme : baisse de dotations, manque de personnel, coûts en hausse, résidents fragilisés.
Et pendant ce temps, les familles s’interrogent : "Faut-il vraiment que maman parte en établissement ? Y sera-t-elle bien traitée ? Et si l’on pouvait faire autrement ?"
Car oui, des alternatives existent. Et elles sont plus accessibles qu’on ne le pense, notamment pour les seniors propriétaires.
Ce n’est pas nouveau : le secteur du grand âge en France souffre depuis des années d’un sous-financement chronique. Mais en 2025, le système touche ses limites. Certaines structures ferment temporairement. D’autres limitent les admissions.
Dans un article récent du Monde, une infirmière d’un Ehpad d’Île-de-France confie :« On n’a plus le temps d’échanger. On gère des soins, pas des humains. »
Un constat dur. Mais réaliste.
Quand l’encadrement se réduit, la qualité de vie baisse. Moins d’activités, repas standardisés, délais d’intervention allongés… Même les familles qui payent cher commencent à douter.
Et en parallèle, les coûts ne faiblissent pas : 2 200 à 3 500 € par mois en moyenne, voire plus dans certaines zones. Une somme difficile à assumer, même avec une bonne retraite.
Pas étonnant que de plus en plus de Français cherchent des solutions pour vieillir autrement.
Plutôt que d’aller en maison de retraite, nombreux sont les seniors qui souhaitent rester chez eux aussi longtemps que possible. Une volonté partagée par 90 % des personnes âgées, selon les enquêtes récentes.
Et ce choix a du sens :
Mais pour cela, le logement doit être adapté.
Il ne s’agit pas seulement d’installer une barre dans la douche. Aujourd’hui, les solutions sont plus nombreuses, plus efficaces :
Coût moyen ? Entre 3 000 et 15 000 €, selon les travaux. Pour beaucoup, c’est un investissement impossible… sauf s’ils peuvent s’appuyer sur leur logement.
Les aides publiques existent (ANAH, aides départementales, crédits d’impôt…), mais :
Alors que faire quand on n’a pas envie d’entrer en Ehpad, mais qu’on n’a pas non plus les moyens d’adapter son domicile ?
C’est là qu’intervient une solution encore trop méconnue : le Prêt 60 proposé par Arrago.
Concrètement, il s’agit d’un prêt viager hypothécaire réservé aux propriétaires de plus de 60 ans. Il vous permet d’obtenir jusqu’à 60 % de la valeur de votre bien, en capital, sans mensualité à rembourser de votre vivant.
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